Issu de concepts de l’Art Nouveau, ce style s’épanouit après la première guerre mondiale. La principale caractéristique est la disparition presque totale de l’ornementation. La ligne se veut plus courbe mais géométrique.

La maison Simon

Construit sur plusieurs étages, l’édifice (9, rue Astrid) annonce l’Art Déco. Le répertoire architectural s’oriente vers des formes géométriques. La réalisation est datée de 1906. les initiales en façade rappellent que l’édifice est construit par la famille Simon.

La Roseraie

Datant de 1909, cette construction (58, boulevard Léopold III) se situe à la jonction des styles Art Nouveau et Art Déco. Les formes se stylisent pour devenir à certains endroits géométriques.

Les ferronneries constituent des motifs stylisés. Il s’agit d’une réalisation de l’architecte bruxellois Van Nooten. On se soucie peu du prix de revient et on n’hésite pas à recourir à des matériaux coûteux. Un remarquable parc classé entoure la propriété.

À son origine, le château appartenait à la famille Baugnies, propriétaire de plusieurs tanneries à Péruwelz. Dans les années 1970, il devient un centre pédagogique de la Communauté française.

La rue Baugnies

Cette rue vient s’annexer au boulevard Léopold III et constitue, après la première guerre mondiale, un nouveau quartier urbain.

Il reflète l’esprit de la nouvelle bourgeoisie péruwelzienne qui édifie des maisons dans des dimensions plus humaines. Les formes géométriques dominent l’architecture et la ligne tente à s’épurer.